BLOG DE NEKO CHRIS

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Mes pensées au fil de me ma vie...

Chaque pensée pour chaque instants de ma vie...

 



Ce soir j’ai regardé un documentaire sur les lions. Je me suis posée
la question : comment les scientifiques qui réalisent ce genre
de film peuvent rester si indifférents aux sorts des animaux sauvages ?

Je sais, qu’ils sont là pour observer et pas interférer dans la vie de ces bêtes, mais voir une lionne agonir sur le sable, envahie de mouches qui se posent sur sa plaie béante, et ne lui porter aucune aide vétérinaire, c’est insoutenable.

Parmi ce décor de désolation, autour de cette pauvre lionne qui gémit de douleur, des vautours font office de spectateurs, sentant la mort planait au-dessus de leur proie. Lorsque la nuit arrive, des hyènes l’attaque et la dévore. Il faut avoir le cœur en métal pour ne pas agir ?

Mais ce ne fut pas la seule chose terrible du documentaire, cette pauvre lionne a laissé derrière elle trois lionceaux, qu’on voit se faire tuer par des lions qui les plient comme une branche d’arbre entre leurs crocs !

Alors ma pensée de ce soir est : comment ces observateurs, peuvent-ils supporter d’être témoins de la dure vie que subissent ces animaux ?

Doit-on rester impassible au prix d’une vie pour préserver la faune sauvage ?

Sans faire en sorte que ces animaux dépendent de nous, on peut très bien opérer juste pour les soigner, et les relâcher mais pas les abandonner à leur triste sort !
Filmer la fin d’une vie, dans des souffrances affreuses, apporte-t-il un élément capital pour la sauvegarde des animaux sauvages et des écosystèmes de la faune ?
 
Je suis et même sûre ignorante pour beaucoup, mais pour moi toutes les vies sont importantes, toutes les vies doivent être sauvées quand on a le pouvoir de le faire.

Regarder un homme mourir sans porter assistance c’est un meurtre, mais regarder un animal agonir c’est de la science.

 

                                                                                                                                         *

 PENSEES DE SEPTEMBRE :

 

En Ukraine en 1986, à TChernobyl, les effets nocifs des radiations ont eu pour effets

De faire fuir l’homme de ces terres depuis, laissées à l’état sauvage, les animaux ont sur vaincus, ils ont su s’adapter. Les radiations n’ont eu aucune conséquence grave sur leur santé, et la nature a repoussée, et sa densité offre une vue splendide sur ces terres interdites. Lorsque, on visite la ville Pripyat  désertée comme un tableau apocalyptique on pourrait être effrayer, mais au contraire, la vie y demeure, une vie paisible, habitait par les animaux, à en croire, que si l’homme était encore sur place, cette faune et cette flore, serait sans aucun doute exterminée.

(Texte C.L)





17/01/2012

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